Sortie en 2015, la seconde saison de la série Fargo, inspirée du chef-d’œuvre éponyme des frères Coen, débute par le tournage d’un faux western en noir et blancMassacre at Sioux Falls, avec pour star un certain Ronald Reagan, qui n’est pas encore devenu Président des États-Unis d’Amérique. La caméra filme un champ de bataille où reposent des tuniques bleues transpercées par les flèches des Indiens qu’ils ont affrontés, avant de s’arrêter sur un chef de guerre amérindien, qui se tient debout au milieu des morts.

Le chef de guerre dégage une impression de puissance, mais celle-ci s’évapore lorsque son interprète, un acteur amérindien, interpelle les équipes du film d’une voix mal assurée pour demander quand est-ce que commence la prochaine prise. Le tournage a lieu en février dans le Dakota du Sud, et les températures sont extrêmement fraiches. Contraint de rester statique en attendant le retour de la star du film, l’acteur amérindien a froid – d’autant plus que le costume traditionnel qu’il porte pour les besoins de la scène ne le protège nullement des basses températures, et qu’il ne peut pas avoir de couverture, contrairement aux figurants blancs

Le réalisateur du western arrive, et entame la discussion pour l’aider à patienter. Le cinéaste explique avec fierté à l’acteur amérindien que la prairie où ils tournent est le lieu même où s’est tenue la grande bataille qui sert de cadre à Massacre at Sioux Falls, et lui demande ce que cela lui fait de se tenir à l’endroit où sont morts tant des « siens », et qui a décidé du sort des Sioux. Surpris, l’interprète lui répond alors : « Je suis né dans le New Jersey. » 

Loin de se satisfaire de cette réponse, le metteur en scène semble remettre en cause l’américanité de l’interprète, et insiste : plein de bonnes intentions, il explique être de confession juive, et qu’en tant qu’individu appartenant à un peuple opprimé par l’Allemagne nazie, il est en mesure de comprendre les souffrances qu’ont vécues les amérindiens. L’acteur le regarde, partagé entre la gêne et la sidération. 

Cette introduction de la seconde saison de Fargo a de nombreux niveaux de lecture. Noah Hawley, le showrunner de la série, rappelle tout d’abord que les westerns classiques ont de nombreuses fois raconté les guerres indiennes, mais du point de vue de l’Homme Blanc. Même animé des idéaux les plus progressistes pour l’époque, un cinéaste devait se conformer au récit Hollywoodien. 

Ensuite, les acteurs amérindiens n’étaient pas considérés au même niveau que leurs homologues blancs. Dans la scène, le réalisateur se dit « conscient » des souffrances qu’ont vécues les natifs-américains, mais est aveugle aux inégalités que subit son acteur, qui n’est pas logé à la même enseigne que les autres. 

Enfin, les amérindiens ont été dépossédés de leur propre Histoire. Non content de juger de l’américanité – et donc de l’identité – de son acteur, le metteur en scène se permet d’expliquer à l’interprète du chef de guerre sa propre Histoire, en dissertant sur la portée d’un lieu éminemment symbolique – mais symbolique pour qui ? pour le Blanc colonisateur ou pour l’autochtone colonisé ? 

La représentation des amérindiens au cinéma

La saison 2 de Fargo est sortie au cœur d’une mutation profonde dans la représentation des amérindiens à Hollywood. Si entre 1970 et 1990, Hollywood a commencé à changer son regard sur les amérindiens, avec des films-clés comme Little Big Man d’Arthur Penn et Danse avec les Loups de Kevin Costner, d’après le roman éponyme de Michael Blake, ces longs-métrages très appréciés du grand public étaient davantage tournés autour de l’Homme Blanc : écrit par des blancs, ils mettent en avant des acteurs blancs, et leurs scénarios ne racontent pas tant l’Histoire d’un peuple que le parcours d’un Homme blanc qui tourne le dos à la civilisation américaine. 

Les années 2010 vont au contraire donner une plus grande place à la figure du natif américain. En 2015, Les Chansons que mes frères m’ont apprises de Chloé Zhao s’intéresse aux parcours d’Indiens qui ont quitté leur réserve, et le casting est essentiellement composé d’acteurs lakotas. En 2015 toujours, le magistral The Revenant d’Alejandro Gonzalez Iñarritú raconte certes l’Histoire d’un trappeur, Hugh Glass (Leonardo DiCaprio), mais ne porte pas un regard angélique sur les relations entre Blancs et amérindiens. Les Arikara sont représentés comme des Dieux sur leur territoire, et peuvent décider de tuer brutalement ou de laisser en vie l’Homme blanc qui y entre. En 2018, le huitième épisode de la saison 2 de la série cyberpunk Westworld est en grande partie raconté en langue Lakota. 

Surtout, les années 2010/2020 ont été marquées par une explosion du nombre d’acteurs amérindiens qui ont rencontré une renommée internationale : on songe notamment à Duane Howard (The RevenantGodless), Forrest Goodluck (Indian HorseThe English), Lily Gladstone (ScalpedFirst Cow) ou encore Zahn McClarnon, dont le charisme naturel lui a permis d’obtenir de nombreux rôles dans des films et séries extrêmement divers, de Fargo à Westworld, en passant par Reservation Dogs ou encore le film d’horreur Doctor Sleep (suite du Shining de Stanley Kubrick). 

La note américaine, du livre au cinéma

C’est dans ce contexte que vient de sortir ce mercredi 18 octobre Killers of the Flower Moon du légendaire Martin Scorsese. Le cinéaste italo-américain, que l’on a trop longtemps cantonné à ses films de gangsters cultes (Mean StreetsLes AffranchisCasinoLes InfiltrésThe Irishman) alors que le genre ne représente qu’une petite partie de sa filmographie, signe ici son premier western. 

Bien évidemment, un nouveau film de Martin Scorsese est un événement en soi – d’autant plus que c’est son premier film depuis The Irishman en 2019 (sorti en exclusivité sur Netflix), son premier en salle depuis Silence en 2016, et le premier dans lequel il réunit devant sa caméra ses deux acteurs fétiches, Robert De Niro et Leonardo DiCaprio, qui signent respectivement leurs dixième et sixième collaborations avec le cinéaste italo-américain

Killers of the Flower Moon est l’adaptation de La Note américaine de David Grann, grand maître du true crime, ou roman non-fictionnel en français, genre littéraire né à la suite de De sang-froid de Truman Capote (1966). L’écrivain, ancien journaliste au New York Times, nous invite à suivre l’une des plus importantes affaires criminelles de l’Histoire américaine, puisqu’elle a permis à un certain J. Edgar Hoover de réaliser ses ambitions : le massacre méticuleux d’une communauté amérindienne, les Osages

En 1894, le gouvernement américain apprend que les terres arides sur lesquelles il avait déplacé les Osages sont riches en pétrole. Le gouvernement et de nombreuses entreprises louent donc des parcelles à la Tribu, qui selon les mots de David Grann va rapidement devenir « le peuple le plus riche par individu au monde ». Une richesse qui va exciter la jalousie de Blancs avides qui vont commettre le pire, puisqu’entre 1918 et 1931, une soixantaine d’Osages seront assassinés

Killers of the Flower Moon, film tricéphale

Dans une première version du film, Martin Scorsese et Eric Roth ont suivi fidèlement la construction du livre de David Grann, qui nous raconte avec précision le déroulé de l’enquête menée par les forces de l’ordre, puis les détectives privés, et enfin le Federal Bureau of Investigation (F.B.I.) ; Leonardo DiCaprio devait interpréter dans un premier temps le détective Tom King. Toutefois, en cours de route, Martin Scorsese a choisi de changer le point de vue du film, en se concentrant sur le couple formé par Ernest (finalement interprété par DiCaprio), neveu du puissant propriétaire William « King » Hale (Robert De Niro), et Mollie Burkhart (Lily Gladstone), amérindienne qui va voir toute sa famille massacrée.

Ce changement de point de vue a été expliqué par Leonardo DiCaprio, le véritable initiateur du projet. Dans le dossier de presse du film, l’acteur oscarisé explique :

« Il a fallu du temps pour perfectionner le scénario, pour qu’Eric, Marty et moi adoptions vraiment la perspective des Osage, au lieu d’en faire simplement l’enquête du FBI. […] Le risque était que le film soit l’énième histoire d’un sauveur blanc. »

Un point de vue partagé par Lily Gladstone, actrice Nimíipuu et Pikuni, qui a passé sa jeunesse dans une réserve amérindienne. Interrogée par Vulture, elle confie : « Ce n’est pas une histoire de sauveur blanc. Ce sont les Osage qui disent « Faites quelque chose. Venez nous aider. Voilà de l’argent. » »

Si Leonardo DiCaprio et Robert De Niro livrent tous deux des interprétations à la hauteur de leurs plus grands rôles, Martin Scorsese veille à ce que jamais le spectateur ne veuille s’identifier à ces deux horribles personnages. Filmé à contre-emploi, DiCaprio campe ici un personnage idiot et grimaçant, dont la dangerosité découle de sa banalité, de sa fragilité et de sa stupidité.

Quant à Robert De Niro, s’il est le grand organisateur de ces assassinats, jamais auparavant il n’avait paru si âgé et malingre devant la caméra de Scorsese – on se souvient de l’épaisseur physique du personnage de Frank Sheeran dans les trois premières heures de The Irishman

Le référent émotionnel du film, c’est le personnage de Mollie, interprété par Lily Gladstone. L’écrivain et producteur David Grann, qui voit en elle « une réincarnation des grandes actrices du muet », considère dans Les Cahiers du Cinéma qu’elle est « l’âme de cette rhapsodie ». À travers ses yeux où la tristesse et la lucidité se mélangent, le réalisateur nous dévoile son véritable sujet : la tragédie vécue par Mollie Bukhart, c’est celle qu’ont vécue tous les Osages, et sans doute tous les amérindiens. 

Rendre « justice aux Osages » et à leur culture

Désirant « rendre justice aux Osages », comme il l’a expliqué dans une featurette publiée par Paramount, Martin Scorsese nous donne un accès inédit à leur culture. Non content d’avoir fait appel à des acteurs natifs-américains, le cinéaste et ses équipes se sont appuyés sur la communauté Osage, sans qui le film n’aurait pas pu se faire. Ainsi, Killers of the Flower Moon met l’accent sur plusieurs aspects de la culture Osage. 

Leonardo DiCaprio et Lily Gladstone ont tous les deux dû apprendre la langue de cette tribu amérindienne, et de nombreuses scènes ont des répliques en osage qui ne sont pas traduites pour le spectateur ; ces répliques participent à rendre ces scènes tantôt mystérieuses, tantôt mystiques. On remarque par ailleurs qu’il y a une véritable réflexion autour des langues comme outils de pouvoir. Deux scènes particulières le symbolisent : dans la première, Mollie et ses soeurs se moquent de leurs maris Blancs (moins riches qu’elles) en langue osage. Les personnages de Leonardo DiCaprio et Robert De Niro sont d’ailleurs les seuls personnages à apprendre la langue des autochtones. Ce faisant, ils ne sont plus perçus comme des étrangers, ce qui leur permet de gagner leur confiance pour les infiltrer et les corrompre.

Plus tard dans le film, Ernest et Hale assistent à un conseil Osage, où les membres de la communauté se plaignent du traitement que leur réservent les Blancs. Toutefois la communauté ne s’exprime plus dans sa langue, mais en anglais. Marque de leur corruption avancée. Alors que les unions maritales amènent l’abandon de la langue maternelle chez les femmes osages, Mollie est la seule à continuer à s’exprimer dans sa langue avec son époux dans son foyer. Femme têtue (selon les mots d’Ernest), elle perpétue les traditions ancestrales, et est celle qui donnera le plus de fil à retordre à ceux qui veulent détruire la tribu. Conservant l’usage de sa langue, elle est la seule à garder le pouvoir. La langue et la terre ont donc la même valeur chez Martin Scorsese ; c’est un bien précieux, un outil de pouvoir, une frontière, dont il faut être le gardien. C’est peut-être parce que le spectateur n’a pas la clé de cette langue osage que Martin Scorsese a veillé à ce que les répliques ne lui soient pas traduites.

Le scénario évoque également certains traits culturels (l’importance des prénoms) et religieux de cette tribu. Ainsi, Mollie est plusieurs fois filmée en train de prier le Soleil, présenté comme le « Grand-Père des Osages ». Ces scènes, pleines de poésie, évoquent presque dans leur composition et leur photographie le cinéma de Terrence Malick (Le Nouveau Monde, Une vie cachée), cinéaste de la religion s’il en est. Quand on sait l’importance de la religion pour Martin Scorsese, qui a réalisé trois films sur le sujet (La Dernière Tentation du Christ, Kundun et Silence), on comprend que ces scènes ne sont pas simplement faites pour proposer une caricature de folklore.

Mention spéciale également aux costumes et bijoux traditionnels, qui devraient garantir au film une nomination aux Oscars, a minima pour cette catégorie. Notons également que Killers of the Flower Moon a été filmé sur les terres des Osage dans l’Oklahoma. Plusieurs des villes d’Osage County mentionnées dans le film, comme Fairfax et Pawhuska, ont servi de lieux de tournage. 

Anatomie d’un massacre : les deux procès de Martin Scorsese

Présenté par la critique comme le premier western de Martin Scorsese, Killers of the Flower Moon est bien plus que ça. Il est un commentaire du metteur en scène aussi bien sur l’Histoire des États-Unis et sur l’Histoire du cinéma américain

Le film débute par une cérémonie : les Osage, en larmes, enterrent le calumet de la paix, symbolisant la signature du traité avec le gouvernement américain. Autrement dit, Killers of the Flower Moon débute justement au moment où les livres d’Histoire tournent définitivement la page des souffrances qu’ont vécues les amérindiens après le Massacre de Wounded Knee le 29 décembre 1890, qui signe la fin des Guerres Indiennes du XIXème siècle. Comme si la signature des traités permettait de changer les mentalités…

Martin Scorsese, qui nous avait déjà rappelé avec Gangs of New York (2002) que les États-Unis sont nés dans le sang et la violence, nous explique ici que les crimes commis à l’encontre des Indiens d’Amériques n’ont pas tous été commis par le gouvernement américain, l’armée et les Texas Rangers, contrairement à ce que nous disent certains. Si les massacres, les traités trahis et la tentative de tuer culturellement les nations indiennes sont imputables au plus haut niveau de l’État américain, les Osages ont également été victimes du racisme et du consentement meurtrier des civils Blancs, qui les déshumanisaient, les considérant comme ayant moins de valeur que des chiens. 

L’avant-dernière scène de Killers of the Flower Moon est à ce titre d’une force incroyable ! Alors que Martin Scorsese a l’habitude de conclure ses grandes fresques criminelles par des intertitres nous expliquant le destin de ses personnages, le réalisateur apparaît sur la scène d’un théâtre, et nous révèle, profondément ému, que les meurtres d’Osage ont été oubliés de l’Histoire.

Cette apparition de Martin Scorsese n’est pas un simple cameo ; sur les vingt-six longs-métrages qu’il a réalisés pour le cinéma, le réalisateur de Taxi Driver n’a signé le scénario que de sept d’entre eux : Who’s That Knocking At My Door (1967), Mean Streets (1973), Les Affranchis (1990), L’Ère de l’Innocence (1993), Casino (1995), Silence (2016) et Killers of the Flower Moon. C’est dire combien ce nouveau film lui tenait à cœur… 

Il est en outre de notoriété commune que Martin Scorsese est un cinéphile passionné. Il a d’ailleurs consacré deux documentaires dédiés au Septième Art : Un voyage avec Martin Scorsese à travers le cinéma américain (1995) et Mon Voyage en Italie (1999). Parmi les nombreux longs-métrages que le metteur en scène a cités dans le premier documentaire, on retrouve Birth of a Nation de D.W. Griffith (1915). 

Considéré par de nombreux critiques comme « le premier blockbuster de l’Histoire d’Hollywood », Birth of a Nation est un long-métrage faisant l’éloge du Ku Klux Klan – péché originel du cinéma américain pour Martin Scorsese. Le KKK apparaît d’ailleurs dans Killers of the Flower Moon, qui fait à trois reprises un parallèle entre les meurtres d’Osages et les émeutes de Tulsa, un massacre de masse qui a eu lieu les 30 mai et 1er juin 1921 dans la deuxième plus grande ville d’Oklahoma – l’état où a lieu l’action de Killers of the Flower Moon et qui semble cristalliser toute l’Histoire américaine. Martin Scorsese prend à partie ses spectateurs, qui autrefois ont vu Birth of a Nation, et qui peuvent désormais laver leurs péchés. Il ne faut plus oublier, leur souffle-t-il. Ne plus oublier ni Tulsa, ni Mollie et ses soeurs.

Faux western et faux film noir – les deux genres de prédilection du Hollywood classique –, Killers of the Flower Moon nous rappelle ainsi que les crimes que l’Amérique blanche a commis à l’encontre des Indiens et des afro-américains, ont été longtemps glorifiés par Hollywood. Il est d’ailleurs intéressant de noter que la dernière partie de Killers of the Flower Moon est un film de procès (genre décidément très à la mode, comme en témoigne la Palme d’Or offerte cette année à Anatomie d’une chute de Justine Triet). 

Mais de qui Martin Scorsese fait-il le procès ? Des coupables des meurtres d’Osages, dont le principal instigateur a été relâché pour « bonne conduite » en 1947, réalisant ainsi la prophétie tragique de William Hale (Robert De Niro), à savoir que ces meurtres seront rapidement oubliés ? Ou fait-il le procès d’un pays qui n’est jamais parvenu à accepter les crimes sanglants qu’il a commis contre plusieurs de ses communautés ? Ou encore du cinéma Hollywoodien, le dernier film de Martin Scorsese, blockbuster à 200 millions de dollars, venant laver les péchés de Birth of a Nation et des westerns classiques ? 

Fervent catholique, qui a longtemps désiré devenir prêtre (ou gangster) avant de devenir réalisateur, Martin Scorsese livrerait alors un magnifique testament christique, avant de se consacrer à ses prochains – et ultimes – longs-métrages : une véritable descente aux Enfers avec The Wager, adapté d’un autre roman non-fictionnel de David Grann, et un film sur la vie de Jésus Christ. 

Vous êtes fan de Martin Scorsese et cet article vous a plu ? Ne partez pas toute suite ! Découvrez notre article sur Nass El Ghiwane, le groupe marocain qui a mis Martin Scorsese en « transe », et qu’il a surnommé « les Rolling Stones de l’Afrique« .

Critique par Gaëtan DESROIS et Lamia DIAB EL HARAKE

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4 réponses à « Killers of the Flower Moon : Martin Scorsese rend la justice pour les amérindiens (CRITIQUE) »

  1. Une excellente critique qui donne envie de voir le film. Merci Cheminez 😍

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  2. Merci pour cette merveilleuse critique
    J’ai envie de voir le film

    Aimé par 1 personne

  3. Avatar de Christian Zimmermann
    Christian Zimmermann

    J’ai vu ce film, j’ai aimé mais trouvé long. Cette excellente critique me donnerait presque envie d’y retourner…

    Aimé par 1 personne

    1. Bonjour cher Christian,
      Merci au nom de toute la rédaction de Cheminez pour votre retour sur notre critique de Cheminez.

      Si toutefois vous retournez voir le film, restez jusqu’à la fin du générique et dites nous ce que Scorsese a voulu nous dire !

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      Aimé par 1 personne

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